Transition énergétique et climatique : comment les Français ont été consultés

Tourisme : la démographie n’est pas seule responsable de la hausse de l’empreinte carbone

Automobile : le réemploi des pièces peut-il fonctionner ?

Carbone 4, en partenariat avec la European Climate Foundation, l’ADEME et le Ministère de la transition écologique, lance la plateforme “<a href="https://francenetzero.fr/">France Net Zéro</a>”, un simulateur climat permettant aux utilisateurs de construire leur propre scénario de neutralité carbone pour la France.&nbsp;France Net Zéro est un simulateur permettant de construire son propre scénario de neutralité carbone en 2050 en jouant sur plusieurs dizaines de paramètres sectoriels et en visualisant les résultats en temps réel.Développée au cours de l’année 2024 par Carbone 4 en partenariat avec ECF, l’ADEME et la DGEC, la plateforme a été pensée dans une optique ludique et pédagogique pour sensibiliser les publics aux enjeux de la transition. Le but est de donner à voir la complexité des équilibres à trouver et de cadrer le champ du débat raisonnable autour de la transition écologique.Le développement de la plateforme a bénéficié des conseils de nombreuses personnes, telles que des membres du SGPE, de la DGEC, de l’ADEME, du Réseau Action Climat, de la Fresque du Climat, du CIRED, du Shift Project, de l’IDDRI ou encore de MyCO2 et IF initiative.&nbsp;La plateforme est par ailleurs promue depuis le 4 novembre 2024 par le Ministère de la transition écologique auprès des participant·es à la concertation préalable de la SNBC-3, afin de leur permettre de créer le scénario zéro émission nette de leur choix et l’envoyer à la DGEC.Carbone 4 prévoit de rendre la plateforme open source. En 2025, de nouveaux modes de jeu seront ajoutés afin de construire des objets pédagogiques spécifiques autour de la plateforme.Le simulateur est disponible ici :&nbsp;<a href="https://francenetzero.fr/">https://francenetzero.fr/</a>&nbsp;Contact médiaEmmanuel Bercault, OmnicomPRGroup / T <a href="tel:+33 6 49 87 60 95">+33 6 49 87 60 95</a> / emmanuel.bercault@omnicomprgroup.com&nbsp;Victor Morelle, OmnicomPRGroup / T&nbsp;<a href="tel:+33618835955">+33 6 18 83 59 55</a> / victor.morelle@omnicomprgroup.com&nbsp;Contact communicationLouise Badoche &amp; Matthieu Rey, Carbone 4communication.groupe@carbone4.com&nbsp;

Neutralité

large_Capture d’écran 2024-12-02 à 10.19.53.png

medium_Capture d’écran 2024-12-02 à 10.19.53.png

small_Capture d’écran 2024-12-02 à 10.19.53.png

thumbnail_Capture d’écran 2024-12-02 à 10.19.53.png

Capture d’écran 2024-12-02 à 10.19.53.png

Lancement du simulateur France Net Zéro

Carbone 4, cabinet français de conseil indépendant, qui accompagne la transformation des organisations vers la décarbonation, l’adaptation au changement climatique et la préservation de la biodiversité, se développe à l’international avec un premier bureau au Grand-Duché de Luxembourg.Fondé en 2007 et dirigé par Jean-Marc Jancovici, Laurent Morel et Alain Grandjean, Carbone&nbsp;4 compte à son actif près de 200 consultants et plus 800 références clients. Fort de ses activités de conseil aux organisations et la fourniture de données et méthodologies aux établissements financiers, Carbone 4 a réalisé plus de 3 000 missions dans le monde entier. Sa mission : faciliter la compréhension des enjeux écologiques et mobiliser les acteurs du changement en les accompagnant vers la décarbonation, l’adaptation au changement climatique et la restauration de la biodiversité.Carbone 4 intervient déjà auprès de plusieurs acteurs luxembourgeois dont la House of Sustainability et Inspiring More Sustainability (IMS), ainsi que plusieurs grandes entreprises. En s’implantant directement au Luxembourg, Carbone 4 met tout son savoir-faire et ses expertises au service des acteurs économiques et financiers du pays.Christina Stuart, Responsable du bureau de Carbone 4 au Luxembourg, déclare&nbsp;: «&nbsp;Le marché luxembourgeois se distingue tant par le dynamisme de son écosystème, en particulier financier, que par ses interdépendances avec ses pays voisins et son rôle central au sein de l’Union européenne. Il reste toutefois encore du chemin à parcourir pour atteindre les objectifs nationaux en matière de décarbonation. Avec une présence directe au Luxembourg, Carbone 4 entend jouer un rôle essentiel dans l’accompagnement des entreprises et institutions financières du pays en matière de prospective stratégique et de mise en œuvre de politiques de décarbonation. Notre objectif est clair&nbsp;: contribuer à la transformation de l’économie luxembourgeoise qui est devenue une préoccupation de tous les acteurs.&nbsp;»Le Luxembourg, un marché confronté à plusieurs défis en matière de réduction des émissions de CO2Alors que le Luxembourg ambitionne de réduire son empreinte carbone de 55% d’ici à 2030, le gouvernement luxembourgeois multiplie les aides aux entreprises pour encourager leurs investissements écologiques. En effet, selon&nbsp;<a href="https://www.eea.europa.eu/en/analysis/indicators/total-greenhouse-gas-emission-trends">l’Agence européenne pour l’environnement</a>, le Luxembourg est de loin le pays le plus émetteur de gaz à effet de serre (GES) par habitant au sein de l’Union européenne. En 2021, un citoyen du Grand-Duché émettait en moyenne 17,6 tonnes de GES, soit plus du double de la moyenne des Vingt-Sept (7,9 tonnes/habitant).Fortement présents dans le secteur financier avec de l’ordre de 3&nbsp;400 fonds d’investissement, les acteurs économiques de la place luxembourgeoise ont entamé leur mue, donnant à Carbone 4 l’opportunité de les éclairer sur les enjeux environnementaux et réglementaires qui encadrent leur activité et les guider vers des stratégies assurant pérennité et résilience, dans un monde soumis à la dérive climatique, à des ressources finies et à la nécessaire préservation de la biodiversité. Le potentiel de réduction des émissions existe également sur le plan de l’économie réelle. A l’échelon territorial, les transports, le bâtiment et l’industrie représentent les&nbsp;<a href="https://environnement.public.lu/fr/actualites/2024/03/bilan-gaz-effet-de-serre.html">principaux secteurs émetteurs</a>. Une marge de progression existe pour ces derniers.Plusieurs expertises fortes au service des enjeux du marché luxembourgeoisGrâce à ses équipes en France et au Luxembourg possédant déjà une forte connaissance du marché luxembourgeois, Carbone 4 entend déployer ses méthodologies en les adaptant au contexte local.Ses clients pourront accéder à tous les services fournis par le Groupe (méthodologies, formations, innovation, expertises sectorielles…) et organisés en cinq activités&nbsp;: Carbone 4 Conseil, Carbon4 Finance mais également la Carbone 4 Académie, MyCO2 et IF&nbsp;Initiative.&nbsp;

large_1000052318.jpg

medium_1000052318.jpg

small_1000052318.jpg

thumbnail_1000052318.jpg

1000052318.jpg

Il s’agit de la première implantation de Carbone 4 à l’étranger.

Carbone 4 s’implante au Luxembourg 

Étude datée de janvier 2022, rendue publique en février 2024.<h4>Contexte</h4>Depuis plusieurs décennies, les politiques nationales de décarbonation des transports accordent une place importante aux biocarburants.&nbsp;Aujourd’hui, la majorité des biocarburants consommés dans le monde sont ceux dits de «&nbsp;première génération&nbsp;», c’est-à-dire produits à partir de matières agricoles pouvant être aussi utilisées pour l’alimentation. Longtemps vantés comme alternative écologique aux carburants fossiles, de nombreux travaux ont signalé les impacts cachés de ces biocarburants&nbsp;: empreinte carbone comparable aux carburants fossiles, pression sur la biodiversité et sur les sols, tensions sur la production de denrées alimentaires, etc. Ces impacts sont principalement liés aux changements d’affectation des sols&nbsp;(CAS)&nbsp;: lorsque l’augmentation de la production agricole entraîne la mise en culture de nouvelles terres, par déforestation ou conversion de prairies en surfaces de cultures par exemple. Face à ces risques avérés, l’utilisation par exemple de l’huile de palme comme biocarburant n’est plus autorisée en France depuis le 1er janvier 2020.Mais qu’en est-il des autres biocarburants&nbsp;? En effet, plusieurs entreprises en France proposent des biocarburants à 100% composés de colza français, et revendiquent des impacts environnementaux préférables aux carburants fossiles. C’est par exemple le cas d’Oleo100, biocarburant B100 produit par l'entreprise Saipol à destination des flottes captives de poids lourds, ou du coc100 (Centre Ouest Céréales). En se basant sur ces exemples et à la demande d’entreprises intéressées par cette solution&nbsp;pour décarboner leur flotte de véhicules, Carbone 4 a cherché à répondre aux questions suivantes&nbsp;:&nbsp;<ul><li>Quelle est l'empreinte carbone, et quels sont les risques éventuels de changement d’affectation des sols, du biocarburant produit à base de colza français&nbsp;?</li><li>Quels débouchés peuvent-être envisagés pour cette filière de biocarburants à horizon 2050, dans un monde moins carboné&nbsp;?</li></ul><h4>Contenu de l’étude</h4>Notre étude évalue les risques de changement d’affectation des sols liés à la production de biocarburant à partir de colza français et conclut que&nbsp;:&nbsp;<ul><li>Les risques de CAS directs sont considérés comme nuls depuis 2008 et la mise en place de la directive européenne intitulée RED.</li><li>Les risques de CAS indirects sont faibles mais non nuls. Carbone 4 estime que le biocarburant à base de colza français est préférable&nbsp;à d’autres biocarburants de 1ère génération présentant un risque de CAS plus élevé (palme et soja).</li><li>Toutefois, comme tout biocarburant de 1ère génération, sa production est en compétition potentielle avec la consommation alimentaire. Sur ce point central, les biocarburants avancés restent préférables à tout biocarburant de 1ère génération.&nbsp;</li></ul>Note importante&nbsp;: les résultats de cette étude sont valables pour un volume de production de colza en France similaire à celui de la dernière décennie. Si celui-ci venait à augmenter très significativement, les résultats seraient caducs.D’autres facteurs sont aussi à prendre en compte&nbsp;dans l’évaluation de l’impact environnemental des biocarburants. D’un côté, certains co-bénéfices comme la co-production de tourteaux de colza, riches en protéines pour l’alimentation animale, qui permet d’éviter des émissions liées à l’importation de&nbsp;soja mais aussi d’améliorer l’indépendance de la France en protéines végétales. De l’autre, les vulnérabilités des cultures de colza et leurs impacts hors carbone (traitements phytosanitaires, impact sur la biodiversité, etc.).&nbsp;Les hypothèses et conclusions sont détaillées et argumentées dans l’étude complète disponible <a href="https://carbone4.com/files/Livrable_Evaluation_Colza_Francais_2.pdf">sur cette page.</a><h4>Contacts&nbsp;</h4><a href="https://www.carbone4.com/team-member/nicolas-meunier">Nicolas Meunier</a>, Chef de projet, Membre du pôle Mobilité,&nbsp;<a href="mailto:nicolas.meunier@carbone4.com">nicolas.meunier@carbone4.com</a><a href="https://www.carbone4.com/team-member/clement-ory">Clément Ory</a>, Manager, Responsable du pôle Agriculture/Agroalimentaire,&nbsp;<a href="mailto:clement.ory@carbone4.com">clement.ory@carbone4.com</a>&nbsp;

Agriculture et Agro-alimentaire

Étude de Carbone 4 sur les changements d’affectation direct et indirect des sols avec le biocarburant issu de colza français

Evaluation d'impact

Stratégies bas-carbone

Le cabinet de Conseil Carbone 4 est heureux d’annoncer qu’il rejoint Aerospace Valley, premier pôle de compétitivité européen de la filière aérospatiale.&nbsp;A l’image de l’économie en général, l’industrie aéronautique et spatiale française se prépare à de profondes modifications de ses modèles d’affaires pour tenir compte des enjeux environnementaux. Pour une industrie habituée à faire de sa capacité à maîtriser la contrainte physique le socle de son leadership, nul doute que la transition environnementale est un défi, mais aussi une source d’innovations, et donc d’opportunités.L’entreprise Carbone 4 est forte d’une équipe de 200 consultants et analystes spécialisés dans les enjeux climat et biodiversité, basés à Paris, Lyon, Rennes et Toulouse. Depuis 15 ans, elle a accompagné les grandes entreprises dans la mesure de leur empreinte environnementale, la mise en place de plan d’actions, l’analyse de la résilience des stratégies d’entreprise face aux risques portés par ces enjeux, ou encore la formation. Par sa présence régionale, Carbone 4 étend désormais son champ d’intervention aux ETI et grosses PME, avec une spécialisation par filières.« Le secteur aérospatial est face à un enjeu de transformation profonde. Au-delà des grands groupes avec qui nous interagissons déjà, nous souhaitons être plus proches des ETI et PME de l’écosystème car ce sont aussi des vecteurs du changement. En plus de notre implantation géographique à Toulouse, l’adhésion à Aerospace Valley nous permet de nous rapprocher de tous ces acteurs, de mieux faire connaître nos accompagnements et partager nos outils / méthodes. Il y a un enjeu collectif à travailler ensemble, pour progresser plus vite&nbsp;», Stéphane Amant, directeur du bureau Carbone 4 ToulouseEn rejoignant Aerospace Valley, Carbone 4 cherche à accélérer encore ses collaborations avec l’écosystème des entreprises du secteur, au service de sa transition et de sa performance économique. Acteur régional reconnu aux niveaux national, européen et mondial, Aerospace Valley travaille à positionner ses membres en pionniers de la transition écologique des filières aérospatiales. Riche de la diversité d'un écosystème composé de grands groupes, PME, start-ups,&nbsp;laboratoires de recherche, acteurs publics, académiques et centres de formation, Aerospace&nbsp;Valley est l’unique communauté au monde qui fédère la totalité des acteurs de la chaîne de&nbsp;valeur, sur l’ensemble des segments de l’aéronautique et de l’espace.&nbsp;---<a href="https://www.aerospace-valley.com/qui-sommes-nous">Aerospace Valley</a>

Salle de presse

Contact

Kit de presse

Communiqués de presse

Retombées presse

Contactez-nous